Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la B.F. sans jamais oser le demander
Mon enthousiasme débordant m'en avait fait dire beaucoup (trop) jeudi dernier, je suis donc bien "obligée" d'en raconter un peu (oui bon, beaucoup) plus aujourd'hui... ET pi comme ça, ça m'évitera de re raconter la même histoire à toutes mes amies curieuses qui veulent savoir (Sophie, Nanou, Ingrid, Rain, Cécile, Martine, Marie, j'en oublie sûrement).
Je note aussi que Noisette n'avait rien compris !!! Le repas fut chez moi. J'ai bien cru qu'il n'allait pas avoir lieu d'ailleurs, parce que je n'avais pas de nouvelles. Mais comme les amies m'ont dit, enfin celles qui connaissent bien les garçons, qu'il allait attendre le dernier moment pour me demander mon adresse (plus pratique quand même), je ne m'inquiétais pas trop (enfin si on enlève le mal de bide, et le coeur qui bat à chaque fois que mon portable sonnait -les copines, pour me demander "alors ???"... Grrrrrrrr, si on enlève tout ça, j'étais vraiment zen). Je finis par lui envoyer un texto vers 18h, me disant qu'au moins, j'aurais fait ce que j'avais à faire, pi ça m'a soulagée donc détendue. J'avais dans la foulée un texto de sa part pour savoir mon adresse, l'heure, etc. Il n'avait pas oublié ouf (sinon je lui aurais, enfin j'aurais essayé de me venger à la boxe aujourd'hui... surtout que je connais maintenant ses fragilités et ses points forts, eh eh, je vais peut-être arriver à le boxer !!!).
Bref, je m'égare.
Il faut savoir que monsieur arrive toujours avec 15 mn de retard au cours de boxe. Comme il me l'a dit en arrivant, je ne m'attendais pas à ce qu'il arrive à l'heure. 3/4d'h. Ca reste raisonnable. Je savais qu'il était noyé sous du boulot, la paperasse administrative d'un de ses 3 ou 4 boulots (j'ai arrété de compter à un moment), je ne pouvais pas lui en vouloir. J'avais quand même décidé de lui faire remarquer que 3/4 d'h de retard, ça ne se fait pas. Je l'ai donc attendu les bras croisés, l'air sévère dans les escaliers. Mais bizarrement quand je l'ai vu arrivé, pour la première fois (le choooooc), en tenue de ville vraiment chic, bizarrement, j'ai oublié que je devais avoir l'air sévère, en colère et tout et tout. Mais je m'égare encore.
Monsieur a commencé à faire une inspection des lieux, en prétextant travailler aussi dans l'immobilier. Il a surtout passé en revue ma DVD-thèque et ma CD-thèque, en relevant à chaque fois les "bons points" (j'ai aussi arrété de compter au bout d'un moment). Manque de bol, il a passé en revue tous mes DVD, même celui de A-ha caché tout en bas. - 3 sur ce coup là. Pfff. Il a ensuite passé en revue toutes les photos aimantées sur mon frigo, en demandant "c'est qui là ? et là ?". Il en est donc venu à me poser des questions sur ma soeur, mes parents, heureusement, on s'est arrêtés là. C'est pas que j'ai honte de ma famille, mais parler de ma famille avec lui, euh... pffff.
Heureusement, il a ensuite aussi parlé de lui, et ça, c'était bien. Je ne m'étais pas trompée, ce mec est un mec bien (enfin, vu d'ici et de maintenant). Au moment de regagner son chez lui (tiens, coïncidence, il doit pas habiter à pas plus de 5-10 mn de chez moi), pour se remettre au boulot (mwarf'), il a conclu que c'était vraiment très sympa de se voir comme ça, blablabla, qu'en plus, maintenant, il avait encore plus d'éléments pour me taquiner en cours (ouf, c'était pour du rire), et j'ai rajouté que c'était à refaire (bin oui, tant qu'à faire), et oui. Je vous passe les détails sur le tendre échange de biz (les bises les plus lentes de l'hist mon histoire). A demain (aujourd'hui donc, y a cours).
Pffff...