Y a des jours comme ça
Y a des journées Ovni comme ça, aussi agréables que rares... Il ne manque plus grand chose pour qu'elles soient agréables... (enfin, une chose en fait : être payée pour ça. Hin hin).
9h30- Projection de presse du dernier film de Gérard Krawczyk, La vie est à nous ! avec Sylvie Testud et Josiane Balasko. Bon, ok, le film n'est pas terrible, mais il en ressort une pointe d'émotion. Et aller au ciné le matin, ne pas se taper ni la pub ni la file d'attente ni les pop corn qui font du bruit, c'est toujours sympa.
14h - Appel du cousin de Vinvin. Youhoo ! Je retourne voir Des Soucis et des Hommes demain.
18h- Conférence de presse pour le même film, autour d'un perrier et de quelques caouètes offerts par le Grand Hôtel. Balasko est plutôt sympa, hyper simple, et parle avec beaucoup de tendresse de son rôle et de son amitié avec Testud.
19h- Achat du dernier album de A-ha, un bijou, qui m'arrachera quelques larmes à sa première écoute, vers 23h. Ca faisait longtemps qu'on l'attendait cet album de groupe, et ce n'est pas pour rien si Cold Play et Keane sont fans (album produit en partie par le prod de U2).
19h15- Appel du journal (Le Progrès) pour me dire que mon (premier) article paraîtra demain et qu'il est bien écrit et intéressant. Ouf, j'angoissais un peu beaucoup.
[Bon bien sûr, avec le bol que j'ai, j'ai appris ce matin que les imprimeurs étaient en grève, donc pas de journal. Vous y croyez vous ??]
19h25- Demi fraise au Café 100 tabac, histoire d'écrire la critique du film pendant que tout est là...
20h- Direction un autre ciné pour une autre avant-première, Flight Plan, avec Jodie Foster. Film bof, qui ne repose que sur Jodie Foster, heureusement que c'est une (très) bonne actrice.
22h30- Sunday chocolat avec Vincent, papotage musique, organisation du footing du lendemain matin
[Edit : Quand j'ai dit l'autre jour que "Autant il pouvait être très en retard, autant il pouvait être très à l'heure", j'aurai du dire "Autant il peut ne pas venir". Ouiiiiin].
23h- Blablabla sur msn avec ami, A-ha en fond sonore (petites larmes etc.)
J'en oublierai presque que j'ai failli me battre avec deux petits con**rds qui m'ont traitée de pu*** en pleine rue et à qui j'ai bien rendu les insultes. Je vous raconterais ça... Ils sont pas près de m'oublier ces deux cons.